La tristesse révèle aussi sa sublimation.

Le temps gris s'étend, morose et sombre,

Dans les méandres de la tristesse infinie,

La détresse s'insinue, telle une ombre.

Les jours s'enchaînent, emportant nos rires passés,

Comme des feuilles mortes dans un vent glacial.

Les visages se ternissent, les sourires se fanent,

Les larmes coulent comme une pluie incessante.

La tristesse révèle aussi sa sublimation.
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L'amour que l'on se porte